Abstract
Aujourd’hui, les sciences humaines et sociales, et tout particulièrement les sciences de l’éducation, peinent à se situer au coeur des politiques et programmes de recherche scientifique conduits dans les pays de l’OCDE. D’un autre côté, un récent rapport de l’Unesco (2010) rappelle combien, plus que jamais, les sciences sociales sont indispensables pour comprendre le monde contemporain et répondre efficacement aux problèmes mondiaux d’aujourd’hui et de demain. Cependant, dans un contexte de déficit public (et de décisions politiques issues principalement des dogmes néolibéraux visant à réduire les dépenses notamment dans le domaine de l’éducation), les sciences humaines et sociales semblent rencontrer des difficultés à se situer dans ce nouveau paysage de la recherche scientifique. (...)This work is licensed under a Creative Commons Attribution 4.0 International License.