HISTOIRE DU NUMERO : DE L’APPEL A PROPOSITIONS AUX TEXTES DEFINITIFS
Gilles LECLERCQ, professeur des universités, Université de Lille 1, membre de l'équipe Trigone du laboratoire Centre Interuniversitaire de Recherche en Education de Lille, Cirel (EA 4354)
On peut lire dans le site de TransFormations les consignes données aux chercheurs qui souhaitent coordonner un numéro de cette revue. Ils y apprennent que deux possibilités, qu’il est d’ailleurs possible de combiner, sont envisageables. La première consiste à composer un numéro en choisissant à l’avance les contributeurs. Si nous avions choisi cette solution, nous aurions demandé à quelques personnes, faisant autorité sur la thématique que nous avons choisie, de dresser un état des savoirs, d’expliquer en quoi elles ont contribué à renouveler le débat, comment celui-ci se dessine aujourd’hui et quel serait le regard original ou décalé qu’il serait intéressant de porter. La seconde solution consiste à procéder à un appel large. Il convient alors de diffuser dans les réseaux de recherche adéquats un texte d’intention sur lequel les auteurs potentiels qui le souhaitent prennent appui pour élaborer une proposition d’article. C’est cette solution que nous avons retenue. Nous l’avons envisagée comme une première étape permettant à des auteurs d’exprimer leur point de vue en même temps que seraient rassemblés des textes que nous espérions significatifs. Nous souhaitions que cette première étape soit suivie d’une autre où nous demanderions à des spécialistes du champ de réagir tout en évaluant les effets de la lecture de ce septième numéro sur leurs propres travaux. Faute de place et de temps, nous n’avons pas engagé cette seconde étape pour l’instant. Elle pourrait faire l’objet d’un rebond dans un numéro à venir de TransFormations.